Wormwood - G.P. Taylor (#PAC 2019)


J’ai reçu ce livre à sa sortie, c’est-à-dire il y a trois siècles, parce qu’il « était meilleur qu’Harry Potter ». Du coup je ne l’ai jamais lu. Accessoirement aussi parce que mon niveau d’anglais n’était clairement pas assez bon à l’époque. Je l’ai inscrit pour mon Pumpkin Autumn Challenge pour sa belle couverture montrant un ciel de nuit, parfaite pour la sous-catégorie « Songe d’une nuit d’été » !

Pendant douze (12) chapitres j’ai pensé que cette belle couverture était le seul point positif de ce roman qui est horriblement compliqué à suivre et dont les enjeux sont difficiles à appréhender. Comme je ne comprenais pas grand-chose à l’histoire, je voulais vraiment savoir comment elle se terminait : qui étaient les « gentils » et les « méchants » ? Au chapitre 13, tout a basculé, le rythme est devenu effréné, et là où j’avais presque besoin de m’obliger à lire au moins un chapitre par jour, tout d’un coup je ne pouvais plus lâcher mon livre. Et puis ? Et puis la déconfiture la plus totale. Pour la première fois j’ai compris l’expression « tomber comme un soufflé » parce que cette fin, mon dieu, la pire fin au monde, au point que j’ai failli balancer mon livre par la fenêtre.

Est-ce que je le conseille ? Non. Douze chapitres pour enfin comprendre de quoi parle l’histoire, pour s’attacher un minimum aux personnages, pour s’intéresser à leur sort et puis se retrouver avec une fin qui trahit complètement le personnage principal, c’est beaucoup trop. En plus, le texte est truffé de morale religieuse beaucoup trop présente (fatalement, l’auteur est un membre du clergé anglican). J’oublierai bien vite ce livre, d’autant plus que l’auteur n’écrit que dans le but de contrer les influences démoniaques d’œuvres telles que…Harry Potter ou Buffy (chose que j’ignorais avant ma lecture). Bref, next please.

ME : Firebird

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